34 Quai des Arts

Seconde édition de « 34 Quai des Arts ». L’exposition se déroulera chez Amar (L’Amar&Hôtes – 34, rue de l’Abattoir à Tamines) :

Le week-end des 10, 11 et 12/10/2025 :

• Le vendredi, de 19 à 23h (vernissage à 19h30)
• Le samedi, de 18 à 23h
• Le dimanche, de 15 à 20h

Amar sera aux manettes de son bar, une petite restauration vous sera proposée.

Il y aura 3 artistes pour cette nouvelle édition :

Marylène Guibaud :

« A la recherche de sérénité par la peinture.

Après une formation en humanités artistiques, la peinture s’est naturellement imposée comme un fil conducteur dans ma vie. Elle est aujourd’hui bien plus qu’une passion : elle est un chemin, une respiration.

Je travaille principalement à l’huile et à l’aquarelle, deux techniques qui me permettent de retranscrire mes émotions et mon ressenti avec sensibilité. A travers chaque coup de pinceau, je cherche à capter ce qui apaise, ce qui invite à ralentir. Dans cette période où la pleine conscience prend une place essentielle dans mon quotidien, la création devient un espace de silence, d’écoute et de paix. La toile et le papier deviennent alors les supports de cette recherche intérieure, où l’instant présent se traduit en formes et en couleurs.

Peindre c’est accueillir ce qui vient avec douceur, et l’offrir comme une invitation à la sérénité. »

Rose-Marie Legrain :

Rose-Marie a passé son enfance à Aiseau avant de s’installer avec sa famille sur les hauteurs de Falisolle. Conteuse et auteure, elle a créé de nombreux spectacles, notamment pour les Commémorations du massacre du 22 août à Tamines et de l’Armistice de 1945, mais aussi dans le cadre de Festivalia avec le Centre Culturel de Sambreville, ainsi que plusieurs « Seule en Scène ».

Elle a été récompensée à plusieurs reprises en tant que conteuse et auteure de nouvelles, et éditée dans des recueils des Editions du Basson.

Ses contes contemporains s’adressent à des enfants et des adultes ; elle anime également des ateliers d’écriture.

Ses textes privilégient « les petits, les obscurs, les sans-grades », ceux-là à qui on ne donne que rarement la parole. Mais sans oublier le côté merveilleux et souvent surréaliste du conte.

Pour elle, l’important c’est de « partager des émotions » …

Annick Linard :

« Mes mains ont rencontré l’argile il y a une vingtaine d’années.

Une révélation, comme si la matière avait toujours été là.

De voyages en rencontres artistiques, l’argile a fait place à la porcelaine.

Des artistes généreux m’ont inspiré et permis de trouver ma voie.

Un long voyage qui est loin d’être terminé…. »